Equateur - Des Andes aux Petites Galápagos


  • Jour 1Arrivée à Quito

    1

    Arrivée à Quito (aéroport de Tababela). Accueil et transfert à l’hôtel. Verre de bienvenue.

    Nuit à l’hôtel

  • 2

    Jour 2Quito/Moitie du Monde/Salcedo

    Départ pour La Mitad del Mundo” (le milieu du Monde). Visite du monument qui marque l’emplacement de la ligne équinoxiale tel que calculée par Charles Marie de la Condamine, Luis Godin et Pierre Bouguer au cours d’une mission (1735-1744) qui changea la face du monde et donna son nom à l’Equateur.

     

    Le  monument  équatorial construit en 1936 pour célébrer le bicentenaire de la mission géodésique française et remplacé en 1986 par un édifice agrémenté d’une large allée flanquée des bustes des treize membres de l’expédition composée par dix géographes français, deux espagnols, et un équatorien : Pedro Vicente Maldonado, qui apporta avec ses connaissances géographiques et ethnographiques. Retour pour Quito. Déjeuner dans un restaurant local.

     

     

    Visite de la ville. Quito : Fondée au XVIe siècle sur les ruines d’une cité inca à 2 850 m d’altitude, la capitale de l’Équateur possède toujours, malgré le tremblement de terre de 1917, le centre historique le mieux préservé et le moins modifié d’Amérique latine. L’UNESCO a d’ailleurs déclaré Quito Patrimoine de l’Humanité en 1978 pour son architecture coloniale.

     

    Quito, tire son nom des Quitus qui habitèrent cette zone bien avant la conquête espagnole. En 1533, Sebastián Benalcázar prit pacifiquement possession de la ville indigène, qui avait été successivement aux mains des Shyris et des Incas ; en 1541, il l’éleva au rang de ville espagnole.

     

    L’ordre des Franciscains fut le premier à s’établir à Quito. Ses membres commencèrent immédiatement à construire un monastère qui devint un centre d’éducation et d’art, avec ses propres écoles de peinture et de sculpture. Augustins, Dominicains et Jésuites donnèrent ensuite à la ville sa physionomie actuelle en y construisant leurs monastères.

     

    Visite du Quito colonial : Les édifices publics sont d’un style espagnol massif. La cathédrale, le palais du gouvernement, l’archevêché et l’hôtel de ville se regroupent autour de la place principale. La Cathédrale (bâtiment au 16ème siècle avec une façade en pierre de taille, sa coupole recouverte de faïences vertes, les belles sculptures et peintures de l’école de Quito) et le Palais du Gouvernement dont les balustrades des balcons en fer forgé proviennent du château des Tuileries, peu de temps après la Révolution de 1789. L’église de la Compagnie de Jésus, avec son autel doré, est probablement l’église la plus richement décorée d’Amérique du Sud. Sa décoration a nécessité plus d’une tonne d’or, dont on a recouvert les autels, les piliers et certaines statues. A l’intérieur de I ’église sont exposées des œuvres d’artistes de I ’école Quiténienne. Son fronton est en pierre gravée d’origine volcanique et des colonnes torsadées ornent son entrée.

     

    L’église San Francisco, surnommée ”l’Escorial des Andes ” vaut également le détour. À ses côtés se trouve la chapelle de Cantuña, connue sous le nom de “Chapelle Sixtine de l’art Quiténien”. La rue de La Ronda, la rue la plus ancienne de Quito ; Cette rue courbe aujourd’hui piétonnière restitue le décor dans lequel vivaient les habitants de Quito du XVIe siècle. Vous serez séduits par ses belles maisons traditionnelles blanches avec fenêtres bleues, balcons en fer forgé regorgeant de pots de fleurs et patios accueillant désormais plusieurs galeries d’art, confiseries artisanales, ateliers de théâtre, de musique, et lieux de rencontres culturelles comme la Casa de Juan ou la Casa 707. La “Plaza de Santo Domingo” : une réserve archéologique, d’où furent exhumés des vestiges de la période d’intégration. La place est dominée par l’église et le couvent du même nom construit à la fin du XCI siècle, et présentant une superposition de différents styles.

     

     

    Reprise de la route panaméricaine vers la région de Cotopaxi : « L’avenue des volcans ». C’est ainsi que l’explorateur allemand Alexander Von Humboldt baptisa, dans les années 1800, la route tortueuse qui longe la cordillère des Andes équatorienne.  Tout au long de cette artère vitale, déroulée dès l’époque inca, se dresse une quarantaine de sommets de plus de 4 000 m. Parmi eux, les plus beaux, les plus hauts volcans des Andes, auréolés de brume et de neiges éternelles.  Arrivée à Cotopaxi.

     

    Continuation jusqu’à San Miguel de Salcedo: Ce village est connu pour ses glaces artisanales et plus particulièrement ses sorbets. Dégustation. Arrivée et installation à l’hôtel

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • 3

    Jour 3Salcedo/Plantation de Roses/Cotopaxi/Baños

    Visite d’une plantation de roses. Les roses équatoriennes sont considérées comme les meilleures du monde, de par leur qualité et leur beauté inégalables. Elles possèdent des caractéristiques uniques : de grosses tiges longues et droites, d’opulents boutons aux couleurs extrêmement vives et la plus longue durée de vie une fois coupées. Produites à plus de 2500 m d’altitude, les roses tirent une coloration intense des fortes variations de températures entre le jour et la nuit (jusqu’à 4°C la nuit).

     

    Des éléments minéraux issus des volcans Cotopaxi et Cayambe permettent que ces roses acquièrent la taille exceptionnelle de leurs boutons et la force de leurs tiges. Les coteaux volcaniques offrent en outre une eau très pure et en grande quantité. Plus de 300 variétés de roses sont cultivées en Equateur, plaçant ainsi notre pays à la première place pour ce qui est du nombre d’hectares cultivées et de la gamme de coloris disponibles.

     

    Visite et randonnée dans le parc national du Cotopaxi qui s’étend sur une superficie de plus de 32 0 00 ha, il abrite bon nombre d’espèces d’oiseaux, mais aussi des lamas, des renards, et parfois des pumas et des ours. Randonnée d’environ 1h accompagnés d’un guide du parcDéjeuner à l’auberge du parc.

     

    Reprise de la route panaméricaine à destination de Baños. : Véritable balcon sur le bassin amazonien. Située à 1800 mètres d’altitude, et à seulement 1h30 de la ville de Puyo, cette petite ville thermale est un savant mélange de cordillère et d’Amazonie ; Baños tire son nom des eaux ferrugineuses froides ou bouillantes qui jaillissent des entrailles du volcan Tungurahua.

     

    Cette ville jouit d’un doux climat subtropical, et la riche végétation qui l’entoure est une invitation aux ballades dépaysantes. Tandis qu’une végétation dense grimpe et descend des hautes cimes jusqu’au bord des torrents écumants, des brumes menaçantes planent sur les ravins alentour.

     

    Petit tour de ville: notons la très belle basilique, située en plein coeur de Baños. Elle protège de magnifiques fresques en l’honneur de la patronne de la ville : Notre Dame de l’Eau Sainte (Nuestra Señora de Agua Santa). Les ateliers de fabrication d’objets en ivoire végétal, et les belles rues piétonnes où on peut voir les marchands de guimauve de canne à sucre au travail. Dégustation de “melcocha” : guimauve de canne à sucre. Arrivée et installation à l’hôtel à Baños ou dans sa région.

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • 4

    Jour 4Baños/Parc Omaere (Puyo-Amazonie)/Allée des Cascades/Salasaca Tourisme Solidaire/Riobamba

    À 60 km à l’est de Baños, vous découvrirez la ville de Puyo, l’une des villes les plus importantes de l’Oriente, capitale de la province de Pastaza, considérée comme l’une des portes d’entrée en Amazonie, située à 950 m d’altitude.

     

    Visite du parc ethnobotanique OMAERE : La biodiversité végétale équatorienne pour les médecines naturelles, rassemblée sur 15 ha. “Omaere” signifie « Nature de la forêt amazonienne » en langue Waorani. Le Parc a été fondé en 1993 par une femme Shuar et deux femmes françaises. Elles ont créé la fondation Omaere et acheté une parcelle de terrain de 15 ha et ont commencé à planter les plantes les plus utilisées par les populations amazoniennes.

     

    Au fil de la découverte des sentiers du Parc, rythmée par les chants d’oiseaux et d’insectes incroyables, vous pourrez sentir le parfum des orchidées, goûter la saveur de la cannelle, toucher les « griffes de chat » et vous faire peindre le visage avec l’achotillo, dont la sève est utilisée par les indigènes pour leurs peintures corporelles. Dans la fraîcheur des maisons traditionnelles indigènes, vous pourrez apprendre le quotidien, les croyances et mythes, savoirs et pratiques de ces populations de l’Amazonie Equatorienne, notamment Shuar et Waorani.

     

    Continuation pour la visite d’un atelier de fabrication d’objets en bois de balsa (bois très léger). Puis, vous emprunterez « l’allée des cascades » : De toutes les routes qui s’enfoncent dans l’univers vert de la jungle équatorienne, celle de Puyo au sud-est de l’Oriente est la plus spectaculaire. Cette route contourne les gorges du rio Pastaza entre une double haie de montagnes abruptes, emmitouflées dans de forêts de brouillard. Excursion à la cascade « Pailón del diablo ». L’une des 10 chutes les plus importantes au monde ! Déjeuner de spécialités dans une auberge locale.

     

    Continuation vers la communauté indigène DES SALASACAS. Déportés de Bolivie par les Incas au XVe siècle et installés depuis dans la Sierra équatorienne, les indiens Salasacas, bien que réputés pour la confection de tapis, vivent également de l’agriculture et de l’élevage. Ils tentent contre vents et marées de conserver leur terre et leurs traditions.

     

    Dégustation du « chaguarmisque » (apéritif dans les anodes) de la plante de l`agave, et démonstration de tissages (tourisme solidaire) chez Segundo. Reprise de la panaméricaine et continuation vers Riobamba, ville qui est communément surnommée la « Sultane des Andes », pour sa situation privilégiée au pied du Chimborazo, la plus grande montagne de l’Equateur (6310 m).

     

    Tour panoramique de la ville. Cette petite ville s’est développée autour du chemin de fer qui relie la cote des Andes et se trouve à proximité d’impressionnantes montagnes, qui de plus, est la seule ville équatorienne jumelée avec une ville française : Saint- Amand Montrond : des liens que deux siècles et demi auparavant Jean Godin des Odonais avait tissé en se mariant avec une jeune équatorienne, Isabel. L’Equateur garde le souvenir de ce Saint-Amandois explorateur, en ayant dressé son buste au pied de “la Mitad del Mundo”.

     

    Riobamba aurait été fondée par Diego d’Almagro en 1534, mais elle fut détruite en 1797 par un puissant séisme qui la rasa entièrement, et elle fut par la suite reconstruite à environ 25 Km à l’est de son emplacement original de Cajabamba.

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

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    Jour 5Riobamba/Marche indigène de Guamote/Train du Nez du Diable/Ingapirca/Cuenca

    Reprise de la route à destination de la gare d’Alausí. Visite en route de l’église de Balbanera, la première en territoire équatorien construite lors de la colonisation, au XVème siècle. Elle est le seul vestige de la fondation espagnole de la première ville de Quito, qui se niche sur les bords de la lagune de Colta.

     

     

    Les indiens Colta y font paître leurs vaches et leurs moutons et utilisent le totora, variété de jonc poussant dans ces eaux pour tresser des nattes (esteras) et de paniers (canastas).

     

     

    Continuatiuon jusqu’au village de Guamote. Le jeudi, matin, dès les premières heures de la matinée, les camions chargés de pommes de terre, d’orge, de fèves, de maïs, de carotte et de pois, provenant des marchés de gros des provinces environnantes, défilent sur les routes du village de Guamote. Sur le marché, c’est la couleur rouge des ponchos qui prédomine et nous indique que la majorité (95%) des négociants sont indigènes et, dans une moindre mesure, métis. Ces indigènes se consacrent à la culture de la pomme de terre, de l’orge, et à la vente de bestiaux. La foire aux bestiaux, où l’on vend des vaches, des veaux, des agneaux, des cochons, des « cuyes » (cochon d’inde) et des poules, fait aussi partie du spectacle !

     

    Continuation pour la gare ferroviaire d’ALAUSI (2356 m). Vers 11h00, embarquement à bord du fameux ** TRAIN DES ANDES (mardi à dimanche) pour commencer la descente jusqu’à Sibambe. Traversée de Chiripungo, Piedra Grande et Zigzag Alto. Passage du fameux “Nez du diable” et arrêt final à SIBAMBE où existe un mirador touristique. Petit rafraîchissement servi au restaurant du musée communautaire « Cóndor Puñuna ».

     

     

    Cette ligne de chemin de fer, fut une des plus difficiles au monde à construire. Le dénivelé de 2300 mètres et ce fameux rocher surnommé Naríz del diablo étaient les deux principaux obstacles. La solution fut trouvée, le train pu « escalader » la falaise grâce aux voies en forme de Z, en avançant puis reculant. Ce trajet est considéré par beaucoup comme l’un des plus spectaculaires qu’on puisse faire au monde ! Reprise de la route à destination la province de Cañar. Déjeuner de spécialités locales en route.

     

    Visite d’INGAPIRCA, le monument religieux et politique le plus important datant de plus de 500 ans laissé par les Incas et les cañaris qui ont peuplé la région, situé à 3200 m d’altitude sur les flancs d’une montagne dominant quelques maisons et des terres consacrées à l’élevage et à l’agriculture. Continuation pour Cuenca. (Trajet env. 1h45). Arrivée à Cuenca.

     

    ** il s’agit d’une locomotive électro-diesel en siège catégorie standard, appartenant aux chemins de fer équatoriens, seuls responsables de son fonctionnement. ; par conséquent nous ne pouvons pas garantir cette excursion à 100%. Il est possible que pour de raisons indépendantes de notre volonté, nous soyons forcés de faire ce trajet par la route, sans passer par le nez du diable.

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • 6

    Jour 6Cuenca/Guayaquil

    Cuenca : capitale de la province de l’Azuay et la troisième ville de l’Equateur. Son nom complet est Santa Ana de los Cuatro Ríos de Cuenca en raison de la présence des 4 rivières appelées Tarqui, Yanucay, Tomebamba y Machángara.

     

    Visite de Cuenca :

    Cuenca se trouve enchâssée dans une vallée entourée par les Andes. La ville coloniale de l’intérieur, a été fondée en 1557 selon les directives d’urbanisme rigoureuses établies trente ans auparavant par Charles Quint, roi d’Espagne. Elle suit le plan orthogonal officiel respecté depuis 400 ans. Centre agricole et administratif de la région, la ville est devenue un lieu de brassage pour les populations locales et immigrantes.

     

    Le lieu fut peuplé jadis par des indiens de l’Amazonie qui occupaient le village Cañari dès le 6ème siècle, également appelé Guapondeleg, ce sui voulait dire « terre aussi grande que le paradis ». Le village fut ensuite occupé par les Incas qui lui donnèrent le nom de Tomebamba, avant que les“conquistadores” espagnols prennent possession des lieux. La cité espagnole fut fondée le 12 avril 1557 par Gil Ramírez Dávalos sous le nom de Santa Ana de los Cuatro Ríos de Cuenca. Ses marchés et son artisanat constituent un témoignage vivant de la riche culture indigène de la région.

     

    Les dômes élégants de la cathédrale qui luisent au soleil, les couvents et les musées empreints de sérénité, la rivière romantique de Tomebamba qui traverse la ville flanquée de maisons en surplomb font partie d’une expérience que personne ne devrait manquer.

     

    Visite d’un magasin de fabrication de chapeaux dits de “Panama”. La matière première vient du palmier Carludovica Palmata. La paja toquilla est la feuille. Triant les jeunes pousses, il s’agit de séparer la palme en fines fibres. Ces dernières sont ensuite bouillies afin d’éliminer la chlorophylle, puis séchées au soleil. Les plus fines serviront à tisser les fameux chapeaux de Montescristi, jusqu’à 6 mois de travail pour un « Superfino ».

     

    Pour le tissage, on utilise un moule en bois, partant du centre de la calotte jusqu’à l’aile. Actuellement la majeure partie de panamas est confectionnée dans la région de Cuenca. Le tissage est traditionnellement féminin. Ce savoir-faire se transmet de génération en génération. Ensuite vient éventuellement le blanchiment ou la teinte. La mise en forme se fait sous presse à vapeur. Pour finir le travail d’aiguille et touches personnelles. Tout ce processus est resté artisanal jusqu’à aujourd’hui. La qualité du chapeau panama est restée intacte et inimitable. Déjeuner de spécialités.

     

    Reprise de la route à destination du littoral : vous descendrez au milieu des montagnes jusqu’à arriver dans les plaines fertiles où bananeraies et cultures maraîchères s’étendent à perte de vue, avant d’arriver à Guayaquil.  Vous descendrez au milieu des montagnes jusqu’à arriver dans Arrivée en fin d’après-midi. Au bord de l`imposant fleuve Guayas, se trouve Guayaquil, un des ports les plus important de la côte du Pacifique de l`Amérique du Sud. Le commerce et la modernité ont forgé le style de vie de cette ville.

     

    Visite du centre-ville : Guayaquil, surnommée la « Perle du Pacifique » est la première ville de la République d’Équateur, sa capitale économique et le plus important port de la côte ouest de l’Amérique Latine. Guayaquil est une ville qui a grandi près de la rivière Guayas, raison pour laquelle il y a eu besoin de créer une promenade qui donne sur la rivière pour le plaisir et le loisir des habitants et des visiteurs, c’est ainsi que fût crée la jetée Simón Bolívar. Vous verrez également le parc Seminario et l`étonnante population d`iguanes vertes habitant dans ce parc situé en face de la cathédrale.

     

    L’hémicycle La Rotonda contient la Place Civique, avec une esplanade et une série de bassins qui créent une ambiance exceptionnelle la nuit et les monuments des libérateurs José San Martín et Simón Bolívar. A la moitié de la jetée, en face du Conseil municipal, se lève la Tour Mauresque qui contient l’horloge publique que depuis le mois dernier, après presque 100 ans de silence, a recommencée à sonner ses cloches.

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • Jour 7Guayaquil/Puerto Lopez

    7

    Visite de “Las Peñas, un quartier fleuri et pittoresque construit à la fin du XIXe siècle au bord du fleuve Guayas, où s’élèvent de belles demeures coloniales en bois. Miraculeusement épargnées par les incendies, elles sont les derniers témoins du temps où la ville était le plus important chantier naval de la côte pacifique. Devenu un quartier d’artistes, Las Peñas est un véritable centre culturel, plusieurs galeries d’art y sont installées.

     

    Départ vers l’ouest à travers la “route du spondylus”. A destination de SALINAS, puis de la province de Manabí. La “route du spondylus” est un parcours qui longe le littoral équatorien et les magnifiques plages de l’océan Pacifique, commençant dans la péninsule de Santa Elena et terminant dans la province de Manabí. Visite du site la “chocolatera” le point le plus saillant d’Amérique du sud dans le pacifique, sous contrôle de la force aérienne équatorienne.

     

    Ce magnifique endroit offre une superbe vue panoramique de Santa Elena et la possibilité d’observer de baleines entre juin et septembre, ainsi qu’une colonie d’otaries à crinière qui a élu domicile près de la plage de surf, et éventuellement des oiseaux rares comme le “fou varié”. Déjeuner de spécialités en route dans un restaurant / musée nautique.

     

    Continuation pour Puerto Lopez, Puerto Rico ou Puerto Cayo en traversant des petits villages de pêcheurs le long de la route du soleil. Fondé en 1923, charmant village de pêcheurs où les maisons traditionnelles de bois avec galerie bordent le Malecón. Le village s’est développé grâce au passage « des baleines à bosses » de juin à septembre !

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • 8

    Jour 8Puerto Lopez/Île de la Plata/Puerto Lopez

    Transfert (env. 0h15) jusqu’au port d’embarquement de Puerto LópezVers 09h30, depuis le quai vous embarquerez directement à bord d’un bateau local en direction de l’île de la Plata. Navigation d’une heure en base partagée.  L’île fait partie du parc national Machalila et se situe à environ 40 km au large de la côte du pacifique.

     

    Le Parc National de Machalilla s’étend sur 55.000 hectares dans la province de Manabi.   Possède une des plus grandes forêts tropicale- sèche au monde.  Sa végétation unique varie selon l’altitude ; devenant plus humide quand l’altitude augmente, pour devenir une forêt tropicale. Sa grande diversité sur une petite surface est due à la localisation du parc, à la jonction du courant marin froid venant du nord dit Humboldt et le courant chaud venant du sud appelé El Niño. Ce parc est le seul habitat de l’albatros des Galápagos en dehors des îles Galápagos elles-mêmes.

     

    Arrivée sur l’île de la Plata. : Randonnée accompagnée d’un guide naturaliste hispanophone du parc et encadrée par votre guide francophone. Plusieurs sentiers s’offrent au visiteur pour explorer les falaises déchiquetées, ils seront choisis en fonction des aptitudes physiques des participants. Parmi les plus populaires :

    • Punta Machete: 4,3 Km, en descente / Durée env.2h30/ 175 marches à gravir
    • Punta Escaleras: 5,8 Km, en montée / Durée env.3h.

     

    L’île devrait son nom au célèbre pirate et navigateur anglais Francis Drake qui y aurait partagé un butin de pièces d’argent (plata en espagnol) capturé sur un galion. Mais c’est surtout l’abondance de guano au reflet argenté qui a valu à l’île son nom « d’île d’argent ». Partie intégrante du parc Machalilla, l’ile est un sanctuaire marin de nombreuses espèces, comme les fous à pattes bleus, les fous à pattes rouges, fous de Nazca, la frégate, l’albatros, les pélicans, Paille-en-queue, Moqueurs…. La migration des baleines à bosse peut y être facilement observable entre les mois de juin et septembre. Les dauphins peuvent aussi y être observés. En d’autres termes c’est une réplique miniature de l’archipel des Galápagos

     

    La flore : La végétation recouvre ici trois formes : forêt sèche et forêt très sèche. Les espèces végétales les plus intéressantes sont : cecropia, balsa, ficus, baume, palmiers, gaïac, cactus, vignes, kapok et fromager. Les paysages sont composés de magnifiques plages de sables blanc et gris, de steppes marines.

     

    La faune : Cette réserve est peuplée d’espèces tropicales, de primates carnivores (pacas, agoutis, singes, écureuils, fourmiliers paresseux…), d’oiseaux marins et terrestres (hérons, pélicans, mouettes, frégates, hiboux petits et grands…) ainsi que de nombreux reptiles, tortues de terre et de mer, serpents, lézards, poissons…

     

    *** Nous nous réservons le droit de changer  l´ordre des visites sans avis préalable de notre part, en raison de changements dans les politiques du parc national, des changements saisonniers, des raisons de sécurité, des conditions du climat ou une autre situation quelconque demandant ces changements. Ces décisions sont prises en fonction de la sécurité des passagers et de la conservation de la flore et faune de l’île.

     

    Baignade en mer, au milieu de poissons multicolores. Masques et tubas fournis pour ceux qui désirent pratiquer la plongée superficielle. Déjeuner « panier repas » à bord du bateau. Retour en bateau à Puerto López. Arrivée vers 15h30/16h00.

     

    Observation de “baleines à bosse” durant la navigation, de juin à septembre. Arrivée à Puerto López vers 17h00. Transfert (env. 0h15) jusqu’à l’hôtel.

    Nuit à l’hôtel

    Petit déjeuner, déjeuner et dîner inclus.

  • 9

    Jour 9Los Frailes/Guayaquil/Départ

    Continuation vers le Parc National Machalilla (trajet env. 0h20). Arrivée à la plage de los Frailes. La baie est immense, l’eau claire et turquoise, sans doute l’une des plus belles plages et la mieux préservée de l’Equateur.

     

    Temps libre pour profiter de cette belle plage au sable blanc. Départ pour Guayaquil par la route périphérique. Déjeuner en route.

     

    Transfert immédiat à l’aéroport et assistance aux formalités d’embarquement pour le départ international.

    Petit déjeuner et déjeuner inclus.

9 jours

par personne, hors vol

à partir de

1700 €
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Spirit of Ecuador

Agence Locale en Equateur

« Notre plus grand désir est que nous puissions transmettre aux touristes qui viennent en Equateur l’amour pour cette belle destination riche en culture, tradition, nature et paysages extrêmes, de sorte qu’ils rentrent chez eux en étant nos amis. »

Spécialistes du tourisme francophone depuis 1989, la connaissance et l’amour que porte notre équipe pour la destination sont nos points forts.

C’est avec rigueur que nous sélectionnons nos fournisseurs locaux, avec dynamisme que nous recherchons des circuits sans cesse novateurs…

Inclus :

  • Accueil et assistance à l´aéroport par le personnel de CONTACTOUR / SOLMARTOUR Ecuador.
  • Hébergement sur la base de chambre DBL avec bain ou douche dans les hôtels mentionnés ou similaires
  • Petit déjeuner américain ou buffet selon les hôtels
  • Pension complète (hors boissons)
  • Entrées dans les sites, musées et monuments prévus dans le programme
  • Guide accompagnateur francophone (guide/chauffeur pour la base 2 et 3 participants) pour l’intégralité du circuit + un guide natif en Amazonie + guide hispanophone du parc à Cotopaxi + guide naturaliste hispanophone pour l’île de la Plata
  • Transport terrestre privé en véhicule de tourisme normes équatoriennes
  • Trajet Alausi-Sibambe en « train des Andes » locomotive eléctro-diesel, en catégorie standard
  • Port d’un bagage/personne dans les hôtels
  • Taxe pour prestations touristiques à Quito et Guayaquil

Non inclus :

  • Vol transatlantique
  • Dîner du J1
  • Taxe de sortie internationale Guayaquil : 29.78 USD/pax à ce jour,
  • Pourboires pour le guide et pour le chauffeur
  • Boissons et dépenses à caractère personnel
  • Assurances, extras
  • Tout autre service non mentionné ci-dessus